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Photo du rédacteurGisèle Robard

Les fêtes de fin d'année vu par Gisèle


Bientôt, les fêtes de fin d’année. Les préparatifs se font depuis deux mois déjà. Les différents achats : les cadeaux, décorations, tout pour être prêt pour les fêtes. Moi, j’ai toujours étais divisée entre le contentement et la tristesse de voir tout ce remue-ménage, cet engouement pour les fêtes, des plats que nous voulons manger, la bûche, les viandes ou poisson etc… Nous avons hâte de savoir qui sera présent ou pas. Et surtout le faite de faire plaisir à tous ceux qu’on aime. Ce n’est pas encore le jour de fête, mais dans le cœur tout trépigne de joie, paradoxalement, je rêve de fête simple, de fête plus authentique, de fête de cœur, des fêtes comme chez moi au Antilles. Des fêtes où mon père me contait, qu’avant les gens mettaient une assiette supplémentaire au cas où il y aurait des gens qui arriveraient à l’improviste et ma mère, disant de faire plus de nourriture pour les mêmes raisons. Qu’il y avait toujours « un vieux » (dite affectueusement) qui racontait des histoires et le chanter Noël, les gens dansaient, riaient, était heureux et se respectaient.... Je trouvais ça vraiment superbe et juste, Cela me remplissait le cœur. Aujourd’hui, je fais toujours plus, mais je ne mets pas l’assiette en plus, qui sait ! ça viendra peut-être ? J’ai toujours préparé les fêtes de Noël en pensant aux autres, pour moi, c’est la fête du partage et du don, de la gratitude et pour ce qui est du jour de l’an, nouvelle année, est la fête de l’ouverture d’une nouvelle page de notre histoire, du remerciement de ce qui sera et aussi de générosité...


Tout le monde devrait se réjouir, mais malheureusement non. Les fins d’années sont des périodes sombres pour beaucoup de personne envahit par la solitude, d’isolement et de détresse. C’est une période où le taux de suicides augmentent. Pour toutes ces personnes, il faut avoir une pensée venant du cœur, de bonheur, d’amour et de soutien. Car souvent nous ne voulons pas voir ni entendre ce qui nous dérange ou qui fait tâche dans notre cadre. Je pense qu’il faut apprendre à voir, à voir au-delà de ce qui est, puis faire, aller dans l’action, ne plus craindre d’aller vers les autres, d’aller vers soi, afin de retrouver le sens de l’humain. Tout cela fait partie du bonheur. Le lâcher prise ouvre cette porte, la porte de la joie, de la paix.


Le bonheur et la joie, commence par soi, être vrai, authentique et apprécier son JE SUIS. Avoir de la gratitude de ce que l’on a, vivre au moment PRESENT. Le bonheur, la joie, ne vient pas des autres mais de la manière que nous nous voyons, de ce que nous voulons vivre et partager.



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